Lundi 9 avril 1 09 /04 /Avr 12:12

   Dimanche de Pâques. Je vais rendre visite a mon Maitre.

  

   Je sais qu'il sera intraitable au vu de mon comportement de chieuse ses deux dernieres semaines. C'est vrai, je ne me sens pas sa soumise depuis quelques temps et notre relation s'est degradee.

 

   Mon premier train est tard. J'ai le temps de me preparer, de ne rien oublier, de repenser, recapituler ce que je dois faire une fois arrivée chez lui. Je prends aussi la laisse que j'ai acheté depuis deux mois. Elle est fine mais elle est en cuir, il pourra me fouetter avec s'il le souhaite. C'est idiot, j'ai un sourire en l'imaginant me fouetter. J'ecris des injures et une phrase que mon Maitre me dit en ce moment. Cette fois j'ai mis du vernis sur les ongles assorti a mes sous-vetements. Je suis prete a aller voir mon Maitre. J'ai peur, je ne ressens pas d'excitation, j'angoisse, je sais que je vais morfler, qu'il me testera et me poussera a bout. Je me suis imaginée plein de choses, comme etre immobilisée, enfermée et oubliée dans un placard, lui m'urinant dessus, me crachant à la figure. Je suis sure qu'il me fouettera avec une de ses ceintures, ça fait vraiment mal.

 

   Je me concentre, sur mon attitude et mon etat d'esprit. Je prends le second train, le paysage est nouveau,le trajet pour aller voir mon Maitre est agreable. Il y a du monde dans le train mais le decors est paisible, il y a un couple juste devant moi, l'homme parle anglais il est avec une asiatique, il est directif mais attentioné avec elle. J'arrive à destination. J'ai pris soin de memoriser l'itineraire pour aller directement chez mon Maitre sans lui demander mon chemin toutes les cinq minutes. Je me rends compte que l'itineraire n'est pas bon. Je reviens sur mes pas et je me dirige selon le plan que j'ai memorisé. Il est simple, je sais que je dois aller vers le centre ville, traverser un grand pont et prendre la rue qui mene à l'eglise.

 

   L'endroit est entre un village et une petite ville. C'est touristique, il y abeaucoup d'anglais, d'espagnols et d'asiatiques. Les maisons sont particulieres, typiques d'une vieille Normandie. Je trouve la rue, il y a deux hommes, un en voiture arrete devant celui sur le trottoir que je dois prendre. Il m'observe, je ne dis rien je téléphone a mon Maitre. Il m'indique le numero et ou sonner. J'obeis, un des deux hommes m'appelle, je ne reponds pas. Il me demande si j'ai besoin d'aide, je lui reponds que non. Je sonne une seconde fois, la porte est fermée a cle. L'homme s'en aperçoit, il s'approche de moi, je recule, il regarde la porte. Il sort ses clés, je le regarde incredule. Il me regarde avec un sourire, il me demande si c'est chez mon petit ami. Je lui souris et lui dit qu'il arrive m'ouvrir la porte. Il entend a ce moment la un bruit de cle et s'eloigne. Il me fait un clin d'oeil.

 

   Mon Maitre ouvre la porte, il est au téléphone, je rentre aussitot et le suis. Une fois dans son appartement, le nouveau, je me deleste de mes affaires, je le rejoins a quatre pattes, et attends qu'il ait fini sa conversation téléphonique. Je lui demande l'autorisation de lui lecher les pieds. Il n'est pas content, Il n'hausse pas la voix mais il a un ton severe, il me fait la remarque de mon comportement de cette semaine. Je ne reponds pas, je baisse la tete. Il regarde l'heure, j'ai du prendre trop de temps a son gout pour arriver chez lui. Il remarque aussi que je n'ai pas mis le collier. Pfff quelle conne, il est dans mon sac a main avec la laisse.

 

  Mon Maitre m'attrape par les cheveux, il me redresse la tete, il est menaçant, je tremble de partout. Il me fait peur. Il me pose une question à laquelle je ne reponds pas, Une giffle tombe. J'ai la joue en feu deja, elle etait plus forte que d'habitude, je suis surprise. Il y en aura plusieurs autres, des fortes qui claquent et brule la peau. J'ai les oreilles qui sifflent, ça fait tres mal. Je n'arrive pas a restée immobile, la tete levée et les mains derrieres le dos. J'ai les larmes au bord des yeux, je ne les ouvre pas pour ne pas voir mon Maitre mais aussi pour retenir mes larmes. J'essaie de tenir, il continue de me frapper sur les joues. Il arrete et me dirige la tete à ses pieds. Les larmes coulent toute seule, je suis choquée, je leche mes larmes sur ses pieds.

 

   Cela ne dure pas longtemps, il va vers la cuisine et revient vers moi, il me tent un mouchoir. Pendant que j'essuie mes larmes, il m'annonce qu'il me filmera, il veut que je me deshabille. Il voit les incriptions, il est sec, il veut que je les nettoie. Ca c'est nouveau, je ne comprends pas, j'obeis toutefois. Il me presente sa verge, elle n'est pas en erection, c'est la premiere fois que je la vois a moitie dure. Il est debout et moi a genoux, je commence à la lecher, il filme la scene. Je ne fais pas attention, je le suce, il durcit vite, je dois me dresser sur les genoux pour prendre sa queue en bouche. J'ai l'impression que ça dure longtemps, soit je n'aime pas etre filmée, soit mon Maitre aime filmer et fait durer en longueur la pipe.

 

  Ensuite, il me demande de me lever, je reste debout sur mes genoux. Il est plus sec et me demande de me lever pour de bon. Je suis surprise de nouveau. Qu'est ce qu'il veut? Je me leve mais baisse la tete, il y a une chaise haute et etroite. Je dois m'asseoir dessus, le ventre coté dossier. qu'est ce qu'il va faire? Il s'affaire derriere moi, je comprends qu'il va m'enculer. Il me lubrifie l'anus, ça me rassure, je souffle longuement pour me concentrer. Normalement ça devrait bien se passer, j'ai bien travailler mon cul.

 

   La queue de mon Maitre se place entre mes fesses, un coup de bite. Je crie, ça fait tres mal, il a visé trop haut, je me debats tellement j'ai mal. Il me maitrise, je lui dis combien j'ai mal, La chaise haute n'est pas stable, je tremble, j'ai tres peur. Il me repositionne, il m'avait prevenue qu'il ne voulait pas que je bouge meme pour la penetration. Je me laisse faire, j'ecarte le string, il colle sa queue a mon cul et l'enfonce, trop haut, il ne trouve pas le trou et ça me fait un mal de chien. Je lui recommande d'aller plus bas, il essaie. Je prends sa verge et le positionne, cette fois c'est bon, mais j'ai mal. Je m'accroche à la chaise, il m'encule et me film.

 

   Tres vite, je sens du plaisir, mais je ne peux pas me laisser aller de peur de perdre l'equilibre. Je gemis tellement c'est bon. Mon Maitre ecrit quelque chose sur mon epaule, il filme et ensuite il efface l'inscription. Cela dure un moment, mes cuisses tremblent avec l'effort de garder l'equilibre, je leche et suce les doigts de mon Maitre pendant qu'il me defonce a merveille la rondelle. Il pose la camera, il colle son torse contre mon dos, c'est tellement bon. J'aime sentir son odeur, sa peau contre la mienne. Je sais qu'il est encore en colere, je profite de ce moment de plaisir partagé, ç'est peut etre le seul que j'aurai.

 

   Il se retire, il me dis de m'allonger sur son tapis à long poil.  Il voit la phrase sur mon ventre, il veut que je l'efface. Il rallume la camera. Je suis dos a terre, il s'assied sur mon torse et me colle la queue dans le bouche. Je ne peux pas bouger meme pour le sucer, je ne peux que lui caresser le gland avec ma langue, le tout dans ma bouche. Il filme quand meme. Ensuite il se leve, je me mets a genoux devant lui, je lui termine la pipe puis lui leche les couille. Il ne souhaite pas ejaculer dans ma bouche, il va se deverser sur mon corps. Il jouit, il filme tout.

 

   Ensuite, il m'indique la salle de bain, je vais me laver, il part dans sa chambre. Il me dis de faire la vaisselle, j'obeis. Il me dis de balayer par terre, j'obeis egalement. Pendant que je lave et balaye, il estd ans sa chambre. Au moins je me dis qu'il n'est pas trop violent, ça aurait pu etre pire, Je ne voudrais pas d'une seconde serie de ses giffles. A cette reflexion silencieuse, il arrive et me dit que je vais deguster aujourd'hui. Vu l'heure, je sais qu'il me punira, peut etre qu'il m'enculera une seconde fois pour montrer qui est le dominant et ensuite ça sera fini. Je ne dis rien, j'obeis a ses ordres.

 

   Une fois les petites taches domestiques finies, je vais voir mon Maitre a genoux. Il est dans sa chambre, sur son ordinateur portable. il me demande de m'apporcher, il me montre sa penderie, je rentre dedans et ferme la porte. Je ne suis pas surprise, je m'y attendais, c'est pour me faire comprendre que je suis son objet, qu'il m'utilise seulement s'il le souhaite. Je ne sais pas combien de temps cela durera mais je sais que ça ne durera pas trop longtemps car il recoit des gens ce soir et mon dernier train est en milieu d'apres midi. Je joue le jeu, je me repose un peu, je sais qu'une punition arrivera apres ça.

 

   Je ne fais pas la maline pour autant, je dois accepter ce qu'il me fait subir, lui montrer ma soumission. Je retouvre ma place de soumise et lui sa place de Maitre, je sens que son emprise devient legitime, c'est ce que j'avais perdu. Cette journée m'apprends a avoir confiance en mon Maitre,s'il me reprends en main, c'est que je suis bel et bien sa soumise. Cela me reconforte. Après cette pause dans la penderie, il m'ouvre la porte, il est allongé sur le lit. La lumiere m'eblouit, il me demande de monter sur lit. Il va me baisser, je sais qu'il me prendra par le cul. Une bonne soumise et une soumise bien enculée. C'est ce que dit mon Maitre.

 

   D'abord, je dois le sucer. Il est mou cette fois, vraiment il n'a pas a rougir de son membre meme au repos. Elle est moyenne mais toujours epaisse. Je le suce, mais il veut plus, une gorge profonde. Je fais ce qu'il semble vouloir que je fasse. Ce n'est pas assez, je salive beaucoup, je dois me reprendre a chaque fois car ma respiration est genée. Ca sera une gorge profonde forcée. Il a une main dans mes cheveux et une autre qui me giffle. J'ai les muscles de la machoir tendus, ça fait mal. Je me debat, je n'ai plus de souffle. Il me baise le fond de la gorge, il prend son plaisir et moi j'etouffe. Il me giffle encore, il va trop loin. J'essaie de me degager, il me relache, je respire mais tres vite il me force a lui sucer la queue. Il me fait mal, il ne lache pas l'affaire. je lui en veux. Je pourrai le mordre pour terminer ce calvaire, mais ça n'arrangera rien.

 

  Je capitule, des larmes coulent d'enervement, je le suce, il a compris, il me lache. Il me releve vers lui, j'ai le cul sur sa bite, je prends sa verge et la guide droit à mon trou. Il commence a gesticuler, pourtant je ne sans rien. Il me tire vers lui, on se retouve l'un contre l'autre, je tourne la tete pour ne pas le voir, j'ai peur de croiser son regard. Il est doux, il me caresse en me baisant, je sens sa tendresse, j'apprecie ce moment. Je ne bouge pas d'un pouce, il prend son plaisir. Je me sens bien dans ses bras. sa barbe contre mon cou me fait de l'effet, ses mains qui me caressent et me pretrissent les fesses me font fondre. Il ejacule dans mon cul. C'est la premiere fois. Je suis troublée mais je ne le fais pas savoir a mon Maitre. On reste quelques instant l'un dans l'autre, il est fatigué, j'espere qu'il a aimé ce moment.

 

    Ensuite, je vais me laver dans la salle de bain, j'ai mal au cul. Les jambes flanchent, j'ai besoin de manger. Mon Maitre me dit de me rhabillée, je lui laisse l'enveloppe pleine d'argent sur son bureau. C'est impersonnel, ce n'est pas un cdeau, c'est un dû. Ca m'attriste d'etre en arrivée là mais au moins on ne s'est pas pas perdu definitivement.

 

  On est dans la rue, je crois qu'il va me raccompagner. il se dirige de l'autre cote, je suis encore surprise. Il a une voiture et il conduit. Je ne dis rien, je monte dans sa voiture, il me fait la visite de la ville pendant le trajet. Je ne dis rien, j'ecoute et j'observe. Il me demande si j'aime bien, je lui reponds que oui, c'est calme ici. Je ne ressens pas de stresse de la ville, il n'y a personne pour vous enbeter, et son appartement est deux fois plus grand qu'a Paris.

 

  On arrive à la gare, il  prend mon billet de retour, j'ai prevu un cheque dans l'enveloppe pour le rembourser, mais il n'est pas signé. J'ai cru qu'on aurait pris le temps de discuter un peu comme les autres fois. il a des courses a faire pour ce soir, je l'accompagne. On discute un peu, la colere est partie. Il m'accompagne à la gare, il me depose. Je le remercie pour aujourd'hui et pour une autre affaire. Il me regarde, je tourne la tete et sors de la voirure. Je ne lui demande pas de baiser cette fois par orgueil. 

 

   J'ai une heure d'attente pour le train. Je pense a mon Maitre, est ce que tout est revenu à la normal pour de bon? J'espere, en tout cas il m'a calmée pour un bon bout de temps. Dans la voiture, il m'a annoncée qu'il serait absent en mai. Je n'ai rien dit, en mai, il y a mon anniversaire. Je sais qu'il ne pourra pas me le souhaiter. Dans le train je retrouve le couple d'etranger de tout a l'heure. Je souris.

 

   Le retour se passe bien, j'ai pris le temps de manger, par contre j'ai eu froid chez mon Maitre, et j'etais gelée sur la route. En rentrant chez moi, j'ai essayé de voir ce qu'on Maitre avait ecrit, je ne comprends pas le mot, ce n'est peut etre pas du français. Je sais qu'il y a un smiley tout triste de dessiné. En le voyant, c'est comme recevoir une claque. J'ai prevenu mon Maitre que j'etais arrivée. Ce matin, je me suis levee avec des courbatures, je n'ai aucune trace sur le visage, j'ai des echauffements et des ecchymoses à l'interieur de mes cuisses dûs à la chaise haute pas tres stable. J'ai mal au cul. J'ai des bleus sur les cuisses dû a ma maladresse dans le train.

Par capuchienne - Publié dans : Visite chez mon Maitre
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